Violaine Bérot


[…] Ça ne sert à rien de faire dire à un personnage « j’ai peur ». Ça ne sert à rien, parce que le lecteur lisant ces mots ne ressentira aucune peur. Il faut trouver comment écrire pour que le lecteur ressente la peur du personnage, sans que celui-ci ait besoin de dire qu’il a peur.

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