[…] Ce n’est qu’à partir du moment où j’en arrive à cette substitution étrange, « Il » est malheureux, que le langage commence à se constituer en langage malheureux pour moi, à esquisser, à projeter lentement le monde du malheur tel qui se réalise en lui. C’est seulement quand je dis, « il est malheureux », que ce malheur devient le mien sur le mode du langage, c’est-à-dire que commence à se constituer, le monde auquel appartient ce malheur.
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